mercredi 28 août 2013

Comment réaliser son design musical ?

Pour composer un design musical efficace et cohérent, il y a 3 étapes indispensables.


1) La partie consulting : pour composer un design au plus près des attentes de la marque, il faut assurer la pertinence des informations qu’elle est en mesure de communiquer. A travers des rencontres avec les personnes de différents départements (marketing, communication, création…), l’agence de conseil va réfléchir au positionnement la marque et identifier ses ambitions.

2) La phase de création : cette partie, essentielle pour matérialiser les informations recueillies dans l’étape de consulting, a un coût. Elle requiert un certain matériel, des technologies, et du temps, plus ou moins long selon la précision des attentes de la marque.

3) La déclinaison de l’identité sonore créée selon tous les supports nécessaires à la mise en œuvre de l’identité sonore : il s’agit d’enrichir la stratégie de communication de la marque, ou de renforcer l’impact de son image par des productions diversifiées.


A ces étapes, Akoustic Arts rajoute l’étude du fond de marque sonore de la marque à la partie consulting, c’est-à-dire l’étude de tous les éléments de communication sonores qui ont marqué les campagnes menées par l’enseigne à travers le temps.
Akoustic Arts, à travers ses multiples compétences, propose un accompagnement au plus près du client, pour un design unique, qui définira la marque et la représentera au mieux lors de ses communications.



Inspiré de : « Le vrai prix du design musical »
http://www.designmusical.com/dossiers/2011/le-vrai-prix-du-design-musical/

vendredi 23 août 2013

Notre consultant Robert Kaddouch sur France 2

Robert Kaddouch, fondateur de la pédagogie Kaddouch et conseiller scientifique pour Akoustic Arts, est intervenu ce mardi 20 août 2013 dans l'épisode de Secrets d'Histoire "Mozart : la liberté ou la mort" diffusé sur France 2. 
Il met à profit son expertise de praticien chercheur en pédagogie et psychologie cognitive du développement pour attester du génie du jeune Wolfgang Amadeus Mozart, virtuose précoce de la musique au 18ème siècle.
Spécialiste de la précocité musicale, Robert Kaddouch cherche à développer les aptitudes de création et de composition des jeunes enfants à qui il enseigne le piano. Il est l'auteur de La méthode Kaddouch qui "considère l'acte d'apprentissage comme création".


Au sein d'Akoustic Arts, Robert Kaddouch apporte toute son expertise alliant musique et psychologie pour que nos travaux et réalisations soient pertinents, efficaces, mais surtout applicables face aux attentes de nos clients.

Retrouvez cette vidéo sur Youtube : http://www.youtube.com/watch?v=hbaBKxwnZIg

Pour plus d'informations sur la pédagogie de R. Kaddouch : http://www.kaddouch-music.com

mardi 20 août 2013

La communication sonore, un investissement à ne pas sous-estimer

A première vue, l’utilisation d’un hit musical tendance pour agrémenter une publicité et attirer l’attention du consommateur peut sembler pratique. De plus, chez certaines cibles, comme les jeunes, l’association entre une marque et un artiste paraît intéressante. Mais pratique ne signifie pas forcément judicieux. Car la relation Artiste/Marque surfe sur la tendance, sur la mode, et devient donc par essence éphémère. Que penser d’une marque portée d’une chanson à l’autre ?

Ce choix musical est celui de la facilité, qui peut être efficace à court terme, mais superficiel à long-terme. En effet, ces associations pour la plupart épisodiques peuvent avoir un impact négatif sur l’image de la marque : perte de crédibilité, éparpillement des valeurs, caractère futileCette pratique ne permet absolument pas de rentabiliser un investissement (parfois lourd) en termes musicaux, et ne participe pas à la construction d’une identité sonore (stable ou évolutive) attribuée à la marque.

D’autre part, on remarque que certains artistes se considèrent comme des marques bien plus puissantes émotionnellement que les enseignes, et souhaitent vendre leur influence aux marques. C’est l’objectif complètement assumé de l’agence Be My Guest, qui propose aux artistes la gestion particulière et renforcée de leur image. Mais, si marques et artistes veulent tous deux servir leur intérêt, cela peut parfois affaiblir l’harmonie entre les deux, et desservir l’impact d’une communication.

Depuis l’apparition du marketing musical, il semble que les marques aient voulu s’y jeter à corps perdu, sans prendre de précaution quant à la pertinence de leurs choix.
Akoustic Arts propose un accompagnement au niveau des communications sonores des marques et entreprises, accompagnées de chartes sonores. Ces outils sont très utiles pour faciliter et rationaliser le management des caractéristiques musicales propres à l’enseigne. Ils répertorient les valeurs de la marque, et la façon dont le son ou la musique doivent être choisis pour les refléter au mieux, et donc rentabiliser un investissement sur le long-terme.


Inspiré de « Est-ce le grand n’importe quoi du marketing musical ? »
http://www.designmusical.com/dossiers/2011/est-ce-le-grand-nimporte-quoi-du-marketing-musical/

jeudi 1 août 2013

Les nouvelles tendances du marketing sensoriel


Le marketing sensoriel est un facteur de différenciation pour les différents commerces, mais aussi un vecteur de confort d’achat pour le consommateur. Découvrez les dernières tendances et technologies de cette nouvelle façon de mettre en valeur le produit. 

Le marketing sensoriel permet d’animer le parcours client par des expériences qui stimulent les sens : la vue, le toucher, l’odorat, l’ouïe et le goût. Sachant que 70 % des consommateurs réalisent leurs achats sur le point de vente et que 40 % d'entre eux restent des achats impulsifs, les marques doivent susciter des émotions chez les acheteurs. Voici les dernières tendances du secteur.

Marketing sonore
Les douches sonores, autrement appelées lasers sonores, permettent de diffuser un son spécifique sur un rayon. L’extrême directionnalité du faisceau de son créé permet de cibler au mètre carré près la diffusion de la musique, ou d’un message promotionnel, sans polluer le reste de l'espace de vente. Il est également possible de modifier, en temps réel, le style musical par rapport à la fréquentation de la boutique, et de programmer la musique par plages horaires.
(voir l’article suivant sur la PLV de Decathlon)

Marketing olfactif
Les diffuseurs d'odeurs, de plus en plus petits, se fondent dans le design des points de vente. Certains peuvent même se brancher sur un ordinateur ou sur un lecteur DVD, afin de diffuser des parfums en adéquation avec les images regardées. Même si certaines senteurs sont prédéfinies, il est possible de les créer sur mesure.
Différentes études ont montré que les espaces dotés d’une ambiance olfactive sont positivement perçus par la clientèle. Les espaces de vente parfumés gagneraient en crédibilité, amenant les consommateurs à payer des prix supérieurs pour les produits proposés.

Marketing visuel
Le QR code (code barre à 2 dimensions, qui se déchiffre à partir d’un téléphone mobile et permet de stocker des informations numériques) permet de renforcer l'identité visuelle d’un point de vente. Ainsi, en scannant le QR code, le client est redirigé vers un site internet, vers une vidéo, vers un questionnaire de satisfaction ou vers tout autre contenu utile à des communications. 

Marketing expérientiel
Ce dernier type de marketing sensoriel se développe surtout dans les enseignes haut de gamme. Le marketing expérientiel repose sur un principe de base : les clients veulent être transportés dans un autre univers, avec des concepts de plus en plus sophistiqués, où l'esthétique est raffinée
La boutique Burberry à Londres illustre bien cette nouvelle tendance : une centaine d'écrans interactifs ont été installés pour donner au shopping une nouvelle dimension. On y trouve notamment des écrans à taille humaine où sont diffusés des messages courts qui varient en fonction des heures ou au passage d'un client. Des iPad permettant de concevoir des produits sur mesure sont aussi disponibles. 


Article inspiré de http://www.chefdentreprise.com/